Tu m’organiserais une tournante ?

Catégories : Femmes soumises sexuelles
il y a 4 ans
A vouloir réaliser ses fantasmes, il y a des fois où mes rencontres BDSM font peur
  • Tu m’organiserais une tournante ?

  • Pardon ?

  • J’aimerai que tu m’organises une tournante, c’est un de mes fantasmes !

  • Tu sais ce que c’est qu’une tournante ? Cela n’a aucun rapport avec un gang bang BDSM !

  • Je sais beau gosse, mais en gang bang BDSM, ils sont trop gentils, trop respectueux. En fait, je n’ai pas envie d’être attachée mais plutôt bousculée comme dans une vraie tournante.

  • Tu es givrée ma belle, mais cela peut s’organiser. Achète ma prestation avec ta bouche de petite salope ! Répond Franck à Marie en détachant la ceinture de son pantalon.

Franck et Marie sont deux amis ultra joueurs. Franck est un dominateur née très porté sur le sexe. Viril de nature, aussi bien des épaules que du caleçon, il est le profil idéal pour Marie, une soumise sexuelle très coquine. Hélas pour elle, il ne veut pas se mettre en couple et préfère la liberté du célibat. Il sait par expérience que les femmes sont vites jalouses malgré ce qu’elles disent. Ils se retrouvent donc régulièrement pour des soirées BDSM torrides où le sexe n’est pas délaissé, bien au contraire.

Pour ce qui est des choses du sexe, Marie aime être humiliée, bousculée. Son côté maso la pousse à provoquer Franck qui sait se modérer dans ses pratiques. Plus d’une fois elle s’est retrouvée entravée nue sur le lit et copieusement fessée sans être baisée, ce qui est une réelle punition pour elle. Pour se faire pardonner après sa fessée, elle doit lui faire une fellation, mais n’a pas autre chose....

  • Je vais être obligé de te demander de m’écrire sur un papier que tu veux vivre une tournante. Ce n’est pas que je n’ai pas confiance en toi, c’est parce que les mecs que je dois trouver ne me croiront pas et risquent de ne pas venir ! Lui explique Franck après avoir joui dans la bouche de Marie, ayant par plaisir, tout avalé en aspirant pour avoir les dernières gouttes.

  • Ok mais je dois écrire quoi ? Demande Marie.

  • On va faire un peu comme un CV avec une photo de toi. Comme ça, les mecs seront rassurés.

Une demi-heure plus tard, Franck imprime une page Word avec la photo de Marie qui rédige à la main ce CV particulier.

  • Cela se ferait où et quand ? Demande marie.

  • Chez moi, c’est plus sûr, par contre quand, je n’en ai aucune idée. De toute façon, je ne te le dirai pas. Une fille ne peut pas savoir qu’elle va vivre ou plutôt subir l’horreur d’une tournante. Un jour quand tu viendras me voir des mecs te tomberont dessus et tu passeras à la casserole. Il faudrait que tu laisses des fringues de rechange ici, au cas où certaines seraient déchirées.

  • Oh que je t’aime toi ! Lui répond Marie en se jetant dessus pour le croquer d’amour.

...........................

Cela fait quinze jours que Marie a fait cette demande. Elle a revu son amant préféré six fois et toujours rien. A chaque fois, rien que d’y penser elle mouille sa culotte avant d’entrer chez lui. A chaque fois, elle est déçue et à chaque fois il lui répond la même chose. « Pour un gang bang les mecs sont d’accords, pas pour une tournante, ils ont peur d’avoir des ennuis ».

Les soirées sexe ou BDSM sexe se poursuivent pendant un mois, sans que le fantasme de Marie se réalise.

« Coucou ma puce, j’ai deux entrées pour un concert Jazz demain soir, cela t’intéresse » ? Demande Franck par texto à Marie. Femme de la nuit, elle accepte volontiers sa proposition. Le rendez-vous est fixé à 21 heures chez lui. Il s’excuse de ne pas l’inviter au resto avant, à cause de son employeur qui a organisé une réunion en fin de journée.

La coquine vêtue pour un concert sonne à l’interphone au bas de l’immeuble de Franck. Après avoir vérifié que c’est bien elle, il ouvre et, sans se douter de quoi que ce soit, elle prend l’ascenseur. Dans l’entrée, un homme remonte des caves avec un sac à la main et prend l’ascenseur en même temps qu’elle. Arrivée au quatrième étage, elle lui dit bonsoir et pousse la porte pour quitter la cabine.

Avant même que la porte de l’ascenseur soit entièrement ouverte, l’homme passe un grand sac sur la tête de Marie et plaque sa main sur la bouche. Prévenu que Marie est tout sauf soumise dans la vie, il s’attendait à ce qu’elle ne se laisse pas faire. Effectivement, la « petite salope » lui donne du fil à retordre, même s’il fait quasiment une fois et demi sa taille et son poids. Soudain, une de ses jambes est attrapée au vol par une autre personne, la deuxième se fait également bloquer. Même à trois, ils peinent à la maîtriser et à la porter dans l’appartement de Franck.

Les petites mains de Marie griffent et frappent tout ce qu’elle peut trouver à l’aveugle, avant d’être menottées dans son dos. Celui qui la bâillonne toujours, se couche avec elle sur le lit de Franck. Elle est déchaussée par les sauvages, ses collants sont arrachés, la petite culotte ne tarde pas à vivre le même destin.

  • Le truc froid que je viens de poser sur ta chatte est un couteau. Si tu ne veux pas que je te coupe les lèvres et le clitoris, tu as intérêt à te calmer salope ! Crie un des hommes plaquant, en réalité, une simple spatule en fer sur son sexe, mais ça, elle ne peut le savoir.

Ce qui affole Marie, c’est qu’elle n’a pas entendu la voix de Franck. Si elle l’avait entendu ou même vu, elle ne serait pas terrorisée et penserait que l’heure de sa tournante organisée avait sonné. Là, elle n’est plus sûre de rien. La peur panique affecte sa logique, chose que l’on peut comprendre vu la rapidité de son « enlèvement ».

Le « couteau » est retiré de son intimité et remplacé par une main, n’hésitant pas à fouiller son intimité d’une paire de doigts inquisiteurs, qui lui font mal. Ses jambes sont relevées, exposant à présent l’intimité féminine dans son entier. Un doigt sauvage non lubrifié fouille son anus et annonce aux inconnus que son cul et loin d’être vierge.

Franck reste mué pour ne pas gâcher la surprise. Il leur donne du lubrifiant et distribue des préservatifs en leur montrant son pouce en l’air, pour leur signifier qu’ils sont des champions, et qu’ils peuvent continuer. Lorsqu’elle sent un homme s’installer sur le lit face à son intimité on ne peut plus offerte, Marie comprend clairement qu’elle va se faire baiser. Il n’y a pas besoin de voir pour sentir ces choses là. L’inconnu ne lui accorde évidement aucun préliminaire et la prend cash d’un coup de rein. Même si elle est habituée à se faire fister, et adore ça, cette pénétration sauvage est vécue comme un v i o l.

  • On va te retirer le sac que tu as sur la tête, si tu ne veut pas être défigurée au couteau, tu as intérêt à bien nous sucer et surtout, à ne pas crier ! Crie un homme à son oreille à travers sa sac.

Le sac retiré, elle constate qu’elle est bien chez Franck sauf qu’il n’est pas là. (Il est caché dans sa cuisine) Pour elle, ce n’est pas comme ça que cela devait se passer ! Il devait être là pour la protéger et non pas la livrer seule à des brutes.

Marie se demande si son ami n’est pas tombé dans un piège, s’il n’a pas été assommé ou même pire, en voulant lui organiser une tournante. Elle ne répond pas au Brutus qui la baise en lui demandant si « elle est bonne sa bite » et se contente de prendre dans la bouche celle qui se présente à ses lèvres. Quelques minutes plus tard, elle est mise à quatre pattes sur le lit de Franck manu militari. Les six hommes présents sont maintenant tous nus autour d’elle, la queue à la main.

  • Où est Franck ? demande Marie.

  • Mauvaise question salope ! Lui répond le plus vieux des mecs, un black défraîchi avec un sexe monstrueux.

Les larmes montent aussitôt aux yeux de Marie qui, dans un moment de rage bondit du lit. Rattrapée au vol, elle est à nouveau plaquée sur le matelas avec la tête dans un coussin pour étouffer ses cris. Un des hommes lui lubrifie l’anus, elle serre les fesses de toutes ses f o r c e s avant d’être retournée sur le dos jambes en l’air.

  • Là tu vas avoir du mal à me refuser ton cul salope ! Lui dit un des hommes en s’approchant de ses fesses avec la bite à la main.

Même habituée à la sodomie, ne parvenant pas à ce décontracter, celle-là lui fait mal. Elle crie « doucement, s’il vous plait » et, en tournant la tête pour prendre une des bites tendues dans sa bouche aperçoit Franck par la porte de la cuisine. Sa peur s’envole aussitôt, ses larmes se remettent à couler, cette fois de soulagement. La sodomie devient soudainement plus agréable, allez donc savoir pourquoi !

La suite de la soirée se transforme en gang bang, avec une soumise sexuelle PLUS QUE consentante. La seule variable est qu’ils sont un peu plus brutaux et font comme si elle n’était pas consentante. Le vieux black s’allonge sur le lit et lui désigne sa bite tendue en lui disant de venir s’asseoir toute seule sur son « bonheur ». Elle s’exécute même si l’homme ne lui plait pas et guide le monstre dans son vagin.

  • Non salope, c’est dans ton cul que tu dois la mettre !

Marie refuse, cherche à se relever. Franck s’approche d’elle et la gifle par deux fois. Aucun des hommes n’aurait osé faire ça. « Remise dans l’ambiance » par ces deux gifles, Marie abdique et essaye de prendre le monstre dans ses fesses. Jamais elle n’avait pris aussi gros par là. Elle peine réellement et s’acharne quand soudain, d’un coup de rein, le noir la pénètre en lui tenant les cuisses pour pas qu’elle se relève.

De voir Franck lever le pouce pour la féliciter n’apaise pas sa douleur ,mais elle sait qu’il ne cèdera pas. Elle voulait une tournante, et comme toujours, il sera intraitable jusqu’au bout d’un jeu lancé. La décontraction finit par se faire, Marie se sent « pleine » comme elle ne l’a jamais été jusqu’à présent. Dans un gang bang, elle aurait refusé de faire de l’anal avec un mec monté comme ça. Celle fois, elle n’a pas le choix.

Mais là, le fait de ne pas avoir le choix et d’être bousculée sans cesse commence à la rendre « chienne » et « esclave sexuelle » malgré elle. Marie commence à se perdre dans le plaisir, à délirer en s’empalant toute seule. Un moment plus tard, la double pénétration n’est plus qu’une formalité la conduisant rapidement au plaisir. Elle leur crie à présent des mots crus du type « oui baisez votre chienne, votre pute, votre vide couilles, votre...... ».

Complètement rassurés, les mâles en rut ne se gênent pas pour défoncer la petite, comme des sauvages. Marie empile les jouissances et semble maintenant insatiable. Lorsque épuisés, ils finissent par « baisser la garde », elle en prendrait bien encore un peu. Prise par la folie des sens, pendant qu’ils boivent une bière, elle se met à quatre pattes et marche comme une chienne jusqu’au pieds de Franck. Elle les embrasse puis se couche à même le sol en étreignant ses jambes comme une folle comblée.

Les hommes l’applaudissent et la félicitent, elle les entend à peine. Ils remercient Franck pour cette soirée et quittent l’appartement tranquillement. Marie n’a pas bougé de l’endroit où elle s’est couchée, elle est épuisée, comblée, heureuse. Franck va faire couler un bain et vient la chercher. Il est quasiment obligée de la porter, pour aller jusqu’à la salle de bain.

  • Tu as aimé mon concert de Jazz ? Lui demande Franck.

  • Tout était génial sauf le début, j’ai vraiment eu très peur qu’il te soit arrivé malheur, salaud !

  • Tu sais que ce vilain mot pour parler de ma modeste personne, mérite une punition ?

  • Oui Maître, je le sais, mais pouvons-nous reporter ça à demain ?

  • Dans ma grande clémence, je vais accéder à ta demande, espèce de folle !

Fin

TSM

Cette histoire érotique est totalement fictive et une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existées ou n’existant pas encore est purement fortuite.

NOTE DE L’AUTEUR

J’ai déjà organisé des trucs assez proches. C’est grisant à organiser et gérer. Comme j’adore les surprises, il y a des fois où la fille a découvert qu’il y avait plus de mains que prévues sur son corps.

Le côté respectueux des participants de ces plans là décrit dans l’histoire, est quant à lui réel. Ils jouent le jeu et respectent les consignes. Après avoir traité une fille de tous les noms, une fois le jeu terminé, souvent ils la vouvoient. L’hygiène est aussi respectée, si un homme essaye de prendre une fille sans préservatif, si ce n’était pas convenu (test HIV présenté) il risquerait fort d’être viré par les participants et peut-être même un peu boxé.

Juste comme ça ....... : dans les club BDSM, il n’y a pas de videur. Pourquoi ? Parce qu’il n’y a pas de v i o l e n c e dans le BDSM.

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